Employé à l’honneur :
Makhtar Ndiaye

Makhtar travaille chez VPD depuis presque dix ans. Il a commencé comme magasinier et a évolué vers le poste de site manager pour quatre sites. Son parcours est marqué par l’engagement, la confiance et le respect mutuel. Aujourd’hui, il nous raconte son histoire. 

Du terrain à l’entrepôt. D’intérimaire à site manager. 

Quel est ton parcours chez VPD ?  

Makhtar : « Il y a environ 10 ans, j’ai commencé à travailler chez VPD. Au début, j’étais intérimaire. Ensuite, j’ai obtenu un contrat fixe et j’ai commencé comme magasinier. C’était un moment important pour moi, car c’était mon premier emploi en Belgique.  

J’ai eu la chance d’avoir des supérieurs formidables qui m’ont aidé dès le départ : ils m’ont formé, intégré et encouragé. Grâce à eux et à ma soif d’apprendre, j’ai pu évoluer petit à petit. Avec le temps, je suis devenu responsable du chargement, ensuite teamleader, superviseur de tous les entrepôts, et finalement site manager pour Zellik, Anvers, Flémalle et Gand. En regardant en arrière, je me rends compte du chemin parcouru : de magasinier à manager. J’en suis fier.  

 

Mais surtout, je ressens beaucoup de gratitude envers VPD : ils m’ont donné la chance de grandir et de montrer ce dont j’étais capable. » 

Veux-tu en dire un peu plus ? 

Makhtar : « Avant de commencer chez VPD, j’étais footballeur professionnel. Je jouais en France, à l’AJ Auxerre. Mais après une double fracture de la jambe, ma carrière s’est brutalement arrêtée. C’était dur : j’avais l’impression d’avoir tout perdu. VPD m’a redonné confiance, m’a aidé à me reconstruire. Grâce à cette entreprise, j’ai retrouvé ma motivation, mon énergie et le respect de moi-même. Et cela n’a rien à voir avec l’argent, mais bien avec l’aspect humain. Ici, on est respecté, écouté et encouragé. On sent qu’on compte. » 
 

Une entreprise qui ressemble à une famille  

Que signifie VPD pour toi ? 

Makhtar : « J’ai connu l’entreprise quand elle était encore beaucoup plus petite, mais malgré sa croissance, la mentalité est restée la même : collégialité, respect et ambiance positive. Cette motivation, cette solidarité et cet esprit d’équipe, c’est ce qui nous distingue. Quand un défi se présente, on le relève ensemble. C’est notre force. 

 

Ce n’est pas juste un job, c’est une famille.  

Depuis mon premier jour, je me suis senti chez moi. Pour moi, VPD est bien plus qu’un employeur. On travaille dur, mais dans une ambiance chaleureuse et humaine. Parfois je reste un peu plus longtemps juste parce que c’est agréable avec les collègues. Ça dit tout, je pense. En France, je travaillais dans une entreprise où on ne voyait presque jamais le management. Ici, c’est totalement différent. Chez VPD, tout le monde est accessible. Les dirigeants ici sont impliqués, ils s’intéressent à toi, à comment tu vas. C’est une entreprise à visage humain.  

Il y a même des gens qui partent et qui reviennent plus tard. Ça dit tout : ce n’est pas un lieu de travail ordinaire, c’est un environnement où tu te sens bien et apprécié. » 


 

 

Le respect comme fil conducteur   

Pour toi, c’est quoi un bon manager ? 

Makhtar : « Il y a des années, alors que j’étais encore teamleader, on m’a posé cette question lors d’une session interne. J’ai répondu avec le cœur : un bon manager est quelqu’un qui accompagne, écoute, montre du respect, tout en gardant l’objectif en tête : bien faire le travail. Et aujourd’hui, j’occupe moi-même cette fonction. C’est incroyable ! Cela signifie que VPD m’a écouté, qu’ils ont eu confiance en moi et m’ont donné les moyens de grandir. VPD fait partie de mon histoire. » 

Quelles sont selon toi les qualités essentielles pour ta fonction ?   

Makhtar : « Le respect. Toujours le respect. Si tu respectes ton travail, tu le fais bien. Et si tu respectes les gens, tu reçois ce respect en retour. J’ai exercé toutes les fonctions : magasinier, teamleader, superviseur… Je connais le contenu de chaque poste, les difficultés, et ce qui peut être amélioré. Cette expérience m’aide énormément à comprendre et accompagner mes équipes.  

Un bon manager est aussi quelqu’un qui montre l’exemple, pas juste quelqu’un qui donne des ordres. J’aime être sur le terrain avec mes équipes, pour qu’ils voient que je participe, que j’écoute. Il faut être exigeant, mais humain : ni trop strict, ni trop mou. » 

 

Le moment qui a tout changé  

As-tu une anecdote que tu n’oublieras jamais ?   

Makhtar : « Je me souviens encore d’une histoire à la cantine. On mangeait tous ensemble, mais je ne parlais pas encore le néerlandais et j’étais un peu timide. Mais à la radio, une chanson d’Elton John est passée. Je me suis levé pour aller chercher mes frites et j’ai commencé à danser spontanément ! Tout le monde s’est mis à rire. À partir de ce jour-là, tout a changé : les collègues sont venus vers moi, m’ont appris le néerlandais, ont parlé avec moi. Mon intégration a vraiment commencé ce jour-là. J’ai appris que la peur ne te fait pas avancer. Il faut rester soi-même, positif et ouvert. C’est comme ça qu’on crée des liens. » 

 

Ce sont les petits détails qui font la différence 

Qu’est-ce qui rend VPD unique ? 

Makhtar : « Ce sont les petites choses qui font la différence, comme les petits-déjeuners mensuels avec les collègues. On échange des idées et on apprend à mieux se connaître. Pas seulement sur le travail, mais aussi sur la vie, les enfants, le foot… Ces moments renforcent vraiment l’esprit d’équipe. 
Dans d’autres entreprises, il y a de la distance entre les employés et la direction, mais pas chez VPD. Ici, tu peux croiser Steven, notre CEO, dehors et discuter de tout. C’est ça, la force de VPD : proximité et simplicité. » 

 

Il y a toujours de la place pour l’amélioration 

Qu’est-ce qui pourrait encore s’améliorer ? 

Makhtar : « Personne n’est parfait, aucune entreprise non plus. Il y a toujours de la place pour l’amélioration Si je devais mentionner un point, ce serait la formation des chauffeurs. La VPD Academy est une super initiative, mais elle serait encore meilleure si on combinait mieux la théorie et la pratique. Certaines personnes apprennent plus vite en faisant les choses. Si on forme bien dès le départ, on évite des problèmes plus tard. Et ce que j’apprécie : le management écoute ce type de feedback, et c’est important. » 

 

J’ai trouvé ma place  

Si quelqu’un te demande ce que tu fais comme travail, que réponds-tu ?   

Makhtar : « Récemment, un voisin m’a dit : ‘Je te vois toujours sourire. Quel travail fais-tu ?’ J’ai répondu : ‘Je travaille dans la logistique, dans la livraison. Je suis responsable de plusieurs entrepôts.’ Il m’a dit : ‘Waouh, c’est un travail dur !’ Et j’ai répondu : ‘C’est vrai, mais j’aime ce que je fais. Et quand on aime son travail, il n’y a pas de place pour le stress.’ Je lui ai expliqué que VPD est pour moi un endroit où je peux être moi-même, où je me sens bien. C’est pour ça que je souris toujours. Même ma femme me le dit souvent : ‘Tu rentres fatigué, mais toujours de bonne humeur.’ Et je lui réponds : ‘Parce que j’aime ce que je fais.’ Simple, mais vrai. » 

Comment vois-tu ton avenir chez VPD ? 

Makhtar : « VPD m’a offert une carrière, une famille, de la stabilité et de la fierté. Tant que je le peux, je donnerai le meilleur de moi-même. VPD est ma seconde maison. Je ne me vois travailler nulle part ailleurs. 
Je veux finir ma carrière ici. J’ai trouvé ma place. Si un jour je pars, ce sera pour prendre ma retraite. VPD m’a donné ma chance, et j’en suis reconnaissant. » 

Souhaites-tu ajouter quelque chose ? 

Makhtar : « Oui. Je veux surtout dire merci. À tous les managers pour leur confiance et leur engagement quotidien. À mes collègues, qui m’ont soutenu dès le début. Et à VPD elle-même, pour tout ce qu’elle m’a apporté. » 

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